mardi 15 mars 2011

Un jour clair, récit (10)





Après les pâtes fond de paquets, nous nous faisions livrer des sushis, comme ça, pour dernière limite. Tu avais planté ton boulot de barmaid de nuit, et moi je n’écrivais plus, trop occupés à nous explorer que nous étions. Jour, nuit, les heures ne passaient plus. Engorgement sensuel. Folies des roulés-boulés sur le futon souillé. Nous nous aimions.

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