La terrasse aux bambous, journal
Lorsqu’après maintes délibérations (raccroche en premier, non toi d’abord!), je posais le téléphone brûlant sur le lit, j’étais exactement comme un noyé flottant sous le Pont des Arts, désarticulé tel un pantin.
J’avais du mal à comprendre ce que je venais de vivre. J’étais abasourdi par une voix enjoleuse qui me faisait craquer. J’allais sur la terrasse fumer une blonde. L., décidemment bouleversait ma vie en y entrant par la grande porte.
J’allai m’étendre pour rêvasser. L’envie de boire m’était passée. C’est toujours ça, me dis-je en piètre consolation de mon manque d’L. Car déjà elle me manquait, et la journée promettait d’être longue.
J’avais du mal à comprendre ce que je venais de vivre. J’étais abasourdi par une voix enjoleuse qui me faisait craquer. J’allais sur la terrasse fumer une blonde. L., décidemment bouleversait ma vie en y entrant par la grande porte.
J’allai m’étendre pour rêvasser. L’envie de boire m’était passée. C’est toujours ça, me dis-je en piètre consolation de mon manque d’L. Car déjà elle me manquait, et la journée promettait d’être longue.
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